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主演:
达斯汀·霍夫曼,蕾妮·罗素,摩根·弗里曼,凯文·史派西,小库珀·古丁,唐纳德·萨瑟兰,帕特里克·德姆西,本尼托·马丁内斯,马利克·鲍恩斯,苏姗·李·霍夫曼,布鲁斯·雅霍夫,利兰·海沃德三世,丹尼尔·乔多斯,代尔·戴,卡拉·基奥,吉娜·门扎,扎克·默凯,莫瑞·史特林,迈克尔·伊曼纽尔,凯利·奥弗贝
上映:
1995
备注
HD
类型:
电影
剧情:
  1967年,在非洲的扎伊尔莫他巴河谷,美国的雇佣军兵营中被一种突如其来的疾病肆虐,死亡人数不断攀升。军医抽取感染血样离开后,整个军营被炸弹摧毁,附近树林中的白脸猴发出阵阵惊叫声……  直到90年代,一个美国年轻人在非洲扎伊尔捕捉到一只小白脸猴,并带回国出售。由于不合买主要求,年轻人将猴子放生,之后一种新型疾病在旧金山的香柏溪镇上蔓延。美国传染病研究所上校军医山姆(达斯汀·霍夫曼 Dustin Hoffman饰)接到消息,与妻子(蕾妮·罗素 Rene Russo 饰)及同事立刻展开研究和救治工作。由于疾病传染性极高,政府紧急出动军队封锁镇子,想要逃离者格杀勿论。此时,有一批保密的染毒血清被送来,但山姆等一群人研究发现,这批血清能救治1967年的疾病,却对如今变异后的病毒毫无作用。不久,山姆的妻子不幸被感染,生命垂危中时,政府也作出决定,准备投放炸弹摧毁整个镇子,以此消灭病毒。时间迫在眉睫,山姆查出了病毒的来源,他必须抢在投弹前找到原始病毒携带者。…

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1969 欧美
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蒂莫西·利瑞艾德·艾姆许维勒FranzFuenstler
  Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969  Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.  « Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »  Jonas Mekas  « Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »  Jonas Mekas, 1972  « Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »  P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997  « Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »  Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000…
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